Narbah

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mardi, 26 mars 2013

Je suis dans le paradoxal











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lundi, 18 mars 2013

Comment je suis parvenu à lire Ulysse de Joyce.











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vendredi, 15 mars 2013

Quand j'étais fou

Je mets ici une version téléchargeable d'un (très) long texte. il peut être lu en ouvrant n'importe quel passage au hasard.

Quand j'étais Fou TÉLÉCHARGER EN PDF

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La grande usine du gai rire

Ce que je fais ?
Je suis fait comme un rat !
J'ai rendez-vous au ras des pâquerettes.
Dans la grande usine, c'est moi la matière première.
Monsieur, votre taxi est servi.

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samedi, 2 mars 2013

Ce que je fais.

Ce que je fais c'est que je me demande tout le temps pourquoi je le fais. Ce qui se passe, c'est que quoi que je fasse, mon esprit se demande toujours ce que fait mon corps.

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jeudi, 21 février 2013

Que faire à manger ?

Je me réveille en nage.

Je regarde dans la cuisine les deux pintades qui caquettent en buvant du thé.

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Ainsi son cœur battait

Ainsi son cœur battait
Sur les marches du crépuscule

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Ma conduite intérieure

“Ma conduite intérieure“ (j'explique à mon oncle qui n'avait pas compris) a un double sens : c'est une voiture avec un toit d'une part, mais c'est aussi ma règle de conduite intérieure…

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petites scènes faciles

On va à la piscine ?

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La critique - comme excès - s’arrache à la dictature du sens

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Cette critique paru dans une revue d’art russe berlinoise en 1974. Elle est un pur produit de l’imagination de Narbah.qui fabrique alors une “machine à écrire des critiques” en compilant des “lieux communs de la modernité” débités au “stylo mitraillette” par une “critique pleine de tics”. Si la machine (un ingénieux dispositif de cahier aux pages découpées permettant d’agencer une infinité de phrases et de produire des textes ronflants et vides de sens) est aujourd’hui perdue, reste ce texte que Narbah avait envoyé à la revue “German Glassnost Pravda” en prétendant proposer sa collaboration. “Ces conneries, j’aime autant les écrire moi même. Au moins je suis certain qu’elles n’ont vraiment aucun sens!” Si la revue refusa la collaboration (…votre style est trop percutant pour notre lectorat au idées conservatrices…), le texte fût néanmoins publié dans AZrt PrEsZ avec pour titre “Narbah, profondeur et surface”et signé du pseudonyme de Fédor Lamachine.

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Vie quotidienne

Dans une maison d’amis d’amis à la campagne
Il y a un grand barbu laconique en salopette.

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Bourdon

Au départ, c'est un rêve que m'a raconté mon copain Daniel Thonon. Au départ il m'avait dit qu'il allait mettre ça en musique, ce qui m'a motivé pour faire plusieurs versions. Mais c'est resté lettre morte.

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mercredi, 20 février 2013

Exo "A chacun son bonbon" : Chère Anis

Pas de contraintes particulières sinon de faire un texte de moins de 1000 signes parlant de sucreries.

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lundi, 18 février 2013

El Patcheviejo & El Vampiropiro

L'exercice consiste à choisir un poème célèbre et d'en faire une transposition moderne, tout en conservant métrique et musicalité.
Une option permettant de compliquer un peu le jeu était de devoir conserver le dernier mot de chaque vers.
J'ai pour ma part choisi EL DESDICHADO (Gérard de Nerval). J'en donne deux interprétations respectant successivement les deux contraintes.
J'ai mis à la fin l'original pour ceux qui ne le connaîtraient pas par cœur.






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dimanche, 17 février 2013

Lorsque j'écris j'ai deux façons

Ce texte fait partie des brouillons jetés retrouvés par le plâtrier Bardel Kovelski de Meudon. Qu'il soit remercié.

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Coup de bourdon

Dédicace : pour ce vieux Laplanche et pour ce vieux René. L'un m'a donné son rêve et l'autre son son de bourdon. N'ayons plus peur de la vieillesse.

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samedi, 8 décembre 2012

Méchant poème

Le deuil n'est pas toujours conforme aux attentes… Ce méchant poème ne correspond à aucune réalité. Il est nourri de pure licence poétique.

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mardi, 4 décembre 2012

La grande glace de l'entrée

          On va dire que c'est une nouvelle en petits chapitres…

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jeudi, 15 novembre 2012

Le dessin retrouvé

essai de texte néo cubiste

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vendredi, 26 octobre 2012

il fait moins dix huit

Il fait moins dix huit
Ce soir,
Je vais aller m'allonger nu
Sur la table du jardin
Pour faire chier les voisins.

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