Une fumée épaisse recouvrait le village. Nous étions bien forcés de nous rendre compte qu’il se passait quelque chose. Une panne de secteur durait depuis une demi heure, les téléphones fixes n’avaient plus de tonalité et il n’y avait plus de réseau pour les portables, plus de web.
samedi, 13 juillet 2019
Laisse tourner, c’est une valse
Par Franz Narbah le samedi, 13 juillet 2019, 12:23 - jeux, oulipo
J’aurai pu vous décrire - une longue épopée - Pleine de cris et de rires - Avec des yeux crevés - Des cadavres puants - Et des chiens écrasés - Mais non - J’ai préféré vous dire - Un truc léger - En traînant ses pantoufles - Chaque pleine lune se répète - Entre centrifuge et centripète - Réel rayé pareil - Au sillon final d’un vinyl abîmé
Et la vie toujours invente
Et la vie toujours invente
Et la vie toujours invente
Même la mort reste une aventure - Que se passera-t-il - Au prochain épisode?
…
Voilà la grande affaire - Si je ne l’écris pas - Un autre va le faire - Il va me ravager - Je dois me réveiller - Dans l’accident - J’ai perdu mes parents - Mes enfants - Je n’ai pas su quoi dire - Ah! - Pas de musique de suspense - Crac, c’est fait - La pare brise explose - Et c’est fini! - Le téléphone sonne - Dans la maison déserte - Tu décroches - Et tu sais - Tu n’avais rien senti avant - Rien !
Et la vie toujours invente
Et la vie toujours invente
Et la vie toujours invente
On fait comme on veut - Surtout comme on peut - Faut-il dire en mourant - Que se passe-t-il maintenant?
…
En fait non - Ça ne marche pas comme ça - Et c’est reparti pour un tour - Tout valse - L’air est clair - On a bientôt fini - Il y a les vagues - La course du nuage - Le chaud, le froid - Le mystère éternel - Du brin d’herbe qui pousse - Sans un bruit - Et les odeurs des colonies
Et la vie toujours invente
Et la vie toujours invente
Et la vie toujours invente
On va passer à autre chose - Et céder la place - Alors : au suivant!
Dédicated to “les dissidents de la pleine lune“ :
mercredi, 10 avril 2019
différentes catégories d’oiseaux bleus
Par Franz Narbah le mercredi, 10 avril 2019, 17:59 - Banalités
différentes catégories d’oiseaux bleus
transpercent la rue maigre
c’est aux signes inaliénables que se raccrochent les pluies
on laisse venir des taxis qui sont cabossés et jacassent
et des abris anticyclone
des foules amibiennes
mercredi, 13 mars 2019
Lettre de motivation de Rudolph Valentini
Par Franz Narbah le mercredi, 13 mars 2019, 12:11 - Fatras
…au départ concours de nouvelles sur le thème “écrire une lettre de motivation, annonce : cherche garde du corps“
Je vais pas y aller par quatre chemins : votre annonce est comme un costard sur mesure taillé pour moi. Je sens bien que vous avez besoin d’une vraie protection. Pas un de ces trucs bidons avec juste un grand nègre qui roupille les bras croisé, debout, derrière ses lunettes noires.
Le bal des tordus, conte moral de Franz Narbah
Par Franz Narbah le mercredi, 13 mars 2019, 11:18 - Fatras
J’suis un petit pédé. J’ai une gueule d’ange, la peau sombre. Je suis pakistanais, et je suis frêle et petit. Un vrai fond de commerce. Je fais un drôle de boulot qui est de ne jamais rater une occasion. Je ne prévois jamais rien. Pas de téléphone portable. Trop d’embrouilles.
vendredi, 4 septembre 2015
Pourquoi les fourmis finiront par dominer le monde
Par Franz Narbah le vendredi, 4 septembre 2015, 19:11 - Anecdotes
dimanche, 3 mai 2015
Mourir, dormir…
Par Franz Narbah le dimanche, 3 mai 2015, 12:30 - Anecdotes
Je suis un type formidable, bien plus grand qu'Orson Welles, lorsque je déclame en tournant mon regard vers l'intérieur :
…Y a-t-il plus de noblesse d’âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante,
ou bien à s’armer contre une mer de douleurs et à l’arrêter par une révolte ?
Mourir… dormir, rien de plus…
vendredi, 20 mars 2015
Pendant l'agonie, le désir continue
Par Franz Narbah le vendredi, 20 mars 2015, 16:29 - Pathos
L'infirmière en blouse transparente
Transpire sur la transfusion
Il expire dans la confusion
samedi, 28 février 2015
Calamity Jane
Par Franz Narbah le samedi, 28 février 2015, 10:57 - Femmes remarquables
vendredi, 20 février 2015
Cosmoréalisme
Par Franz Narbah le vendredi, 20 février 2015, 19:58 - Autofiction Narbah
Essai de Narbah sur la notion de Cosmoréalisme dans le numéro 2 du “Journal de mes Paysages“. J'ai envoyé un texte signé Gaspard Delhuître. J'avais mis un grabouillon (Gode Froid) avec, mais ma carrière de plasticien semble moinsse prometteuse que celle de théoricien (voilà du boudin) puisque ce dessin à été refusé (fusée).
Entre deux eaux
Par Franz Narbah le vendredi, 20 février 2015, 11:05 - Pathos
Je suis dans le paradoxal
Des nappes de brouillard jaunes flottent dans un espace sidérant
Dans ce magma fangeux s'agitent de fantomatiques présences
Mon existence s'y glisse comme un vaisseau
Écrivant un poème obscur et lourd
Pierre massive qui s'enfonce
mercredi, 11 février 2015
Goudrons 1 (album)
Par Franz Narbah le mercredi, 11 février 2015, 16:47 - clichés
mercredi, 28 janvier 2015
Femmes remarquables
Par Franz Narbah le mercredi, 28 janvier 2015, 10:22 - News
REMARQUABLES : voir galerie spéciale ici :
http://narbah.blog.free.fr/index.php?category/textes/Femmes avec les noms et les liens vers le pages wikipedia…
EH OUI ! IL VA FALLOIR BOSSER UN PEU POUR SAVOIR QUI ELLES SONT…
jeudi, 22 janvier 2015
Carnet de Val - 1
Par Franz Narbah le jeudi, 22 janvier 2015, 09:47 - dessins
Série de dessins réalisées en 2005/6 d'après des petites formes disséminées un peu partout dans la maison par ma fille Alice.
Le carnet mesure 14x10,5 fermé et est relié en cuir.
Ceci n'est qu'une première série, le carnet comporte 162 pages avec un certains nombre de dessins en double page.
Ce ne sont pas les meilleurs, ce sont seulement ceux qui sont carrés.
envoyé le 22 janvier 2015 at 2:08
Par Franz Narbah le jeudi, 22 janvier 2015, 02:08 - Critiques pour Sigrid Coggins
Contribution au dessin sur le blogart de Sigrid Coggins
dimanche, 4 janvier 2015
Riens (album)
Par Franz Narbah le dimanche, 4 janvier 2015, 10:35 - clichés
jeudi, 1 janvier 2015
L'Homme qui Regardait passer les Voitures
Par Franz Narbah le jeudi, 1 janvier 2015, 10:04 - Romans
Vous allez ici être confronté à un texte sans queue ni tête où la médaille du bonheur à le revers du malheur, où le pire handicap se révèle être un instrument de libération, où les bons sont méchants et vice versa. Bien entendu, aucun des personnages qui vont s'agiter sous vos yeux n'est autre chose qu'un pauvre pantin agité par la frénésie jaculatoire de mes doigts de démiurge arpentant le clavier pour faire rigoler Plotine, ma muse, mon espérance, ma seule lectrice. Et ne comptez pas sur moi pour vous offrir une fin heureuse,: vous êtes prévenus, ça va être glauque, triste et nul. Maintenant, lisez si vous y tenez vraiment.
L'homme qui regardait passer les voituresTÉLÉCHARGER EN PDF
dimanche, 21 décembre 2014
Tout le monde décembre
Par Franz Narbah le dimanche, 21 décembre 2014, 10:48 - Banalités
Chanson catatonique :
je cherche un gentil musicien fou pour mettre mes chansons en musique.
Il faudrait aussi trouver (pour faire les choses comme il faut), une chanteuse ou un chanteur cinglé (ou les deux, ou une chorale) pour les chanter ;
et enfin un producteur très riche pour les produire et payer des gentils animateurs genre Nagui pour les diffuser.
Je sais, c'est du boulot, mais “si tu ne demandes pas, tu n'as pas“ dit le proverbe tautologique.
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